La véritable histoire du haricot magique

La fameuse histoire que l’on appelle « Jack et le haricot magique » n’est qu’un tissu de mensonges. La vérité sur ce qui s’est vraiment passé, je la connais puisque j’y étais : c’est moi qui suis monté sur le haricot ! Une version inédite, contée, chantée, rythmée par une guitare imprévisible, des aventures rebondissantes d’un garçon qui accède au « monde d’en haut » en grimpant sur un haricot géant.

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La véritable histoire du haricot magique

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” Les premières versions de ce conte, bâti sur des motifs mythologiques archaïques, sont nées en Angleterre où le héros faisait partie de la tradition des « Jack », c’est à dire des filous sympathiques, escrocs par nécessité qui arnaquent les puissants. Mais au fil des siècles il a fallu moraliser un peu ce personnage trop cupide (ou trop subversif ?). On a donc fait du géant l’assassin du père de Jack, ce qui permettait à celui-ci d’endosser le rôle du héros vengeur.
Enfin après une enquête minutieuse sur les origines troubles de cette histoire exemplaire, j’ai découvert que finalement Jack n’en était pas le véritable héros. En effet, celui qui est monté jusqu’au ciel grâce au haricot magique, et bien c’est tout simplement… moi ! ”
Cet enregistrement est dédié à Bruno De La Salle, grand semeur de graines d’histoires. François Vincent

Sources : Joseph Jacobs, English Fairy Tales (New York et Londres, GP Putnam’s Sons et David Nutt, 1898). Andrew Lang, The Red Fairy Book (London : Longmans, Green, and Company, 1890).

Une traduction française est parue chez José Corti dans un recueil intitulé « Le mendiant aveugle ». «…Très tôt je me suis égaré dans la grande forêt de la vie. J’ai quitté le lycée avant le bac pour enchainer les petits boulots. Manutentionnaire, garçon de restaurant, vendeur de pain ambulant et toutes sortes d’autres choses. La musique était ma passion. Pendant mon temps libre et mes périodes de chômage (temps béni où l’on trouvait du travail quand on voulait!) j’écrivais des chansons et jouait de la guitare.

Un jour un orchestre professionnel m’a embauché. La musique est devenue mon gagne pain. Mais en fait j’ai dû vendre mon âme au diable sans m’en apercevoir. Peu à peu j’ai accepté tout et n’importe quoi. J’ai gagné de l’argent et j’ai pris du bon temps… mais mon art n’avait plus de sens. Désirant rompre avec le démon qui avait enlevé ma muse, j’ai changé radicalement d’orientation. J’ai suivi pendant deux ans une formation universitaire au C.F.M.I. de Lyon pour devenir musicien intervenant en milieu scolaire, métier que j’ai exercé pendant six ans.

Le projet musical le plus courant dans les écoles est le «conte musical». J’ai donc été amené à travailler sur de nombreux projets de contes et c’est ainsi que je me suis intéressé aux conteurs. La découverte de cet art a réveillée ma muse. J’ai écouté Bruno De La Salle, Michel Hindenoch, Abbi Patrix, Catherine Zarcate, Nacer Khémir, et bien d’autres. J’ai participé à des ateliers d’écriture. J’ai suivi des stages avec Henri Gougaud et Didier Kowarsky. J’ai collaboré deux ans à l’atelier «Fahrenheit 451» de Bruno De La Salle au CLIO que j’ai également eu la chance et le plaisir d’accompagner à la guitare électrique sur un de ses spectacles «Le Dit du Devin».

«L’Heure Joyeuse» bibliothèque parisienne a été la première à m’accueillir en 1999. Cette première fois a fait des petits. Je me produis dans toutes sortes d’endroits et régulièrement à la cité de la musique pour raconter devinez quoi ?… des histoires sur la musique. Le chemin du conteur ne cesse de me surprendre . Je m’y perd et m’y repère, c’est lui qui me fait traverser la grande forêt de la vie…»

François Vincent raconte des histoires à voix nue ou en jouant de la guitare, principalement des adaptations de contes traditionnels.

“Il y a donc sur le sujet une véritable histoire, qui met au rebut toutes celles qu’on a pu raconter jusque-là, et l’auteur de ce conte est bien placé pour le dire puisque le héros de l’aventure, c’est lui. Adieu les récits fagotés de séquences musicales qui n’ont rien à voir avec ce dont on parle et sont au mieux de l’illustration sonore, autrement dit remplissage et diversion. Ici c’est le musicien autant que le conteur qui guide le récit : est-ce chanté, est-ce parlé, on ne sait, puisque mélodie et phrasé de la parole sont tellement entrelacés qu’on se demande si François Vincent, dans la conversation quotidienne, pourrait s’exprimer autrement qu’en bribes d’alexandrins, en octosyllabes, et même s’il dévide son propos autrement qu’en le rythmant avec sa guitare”.
Coup de cœur Charles Cros

“Aucun doute : c’est le conte musical que tous, parents, enfants, musiciens, passionnés d’histoires, attendaient depuis longtemps : les adultes risquent de se mettre à le réécouter aussi souvent que les enfants, c’est là aussi la véritable magie”.
Gérard Authelain 

“Voici une version vraiment inédite du très célèbre conte connu de tous. C’est celui-là qu’il faut écouter ! S’il est musicien, François Vincent est aussi un merveilleux conteur qui nous mène par la magie de sa guitare et de sa voix dans un voyage rempli de rencontres imprévisibles. La voix s’impose par la présence et vous accroche de façon imparable : impossible d’y résister. Totalement irrésistible.”
Meilleurs disques pour enfants 2011 de la ville de Paris

de François Vincent musique François Vincent illustration Rémi SaillardI collection Contes d’auteurs I format Livre audio 1CD, 140 x 125 mm I durée 49 mn I langue Français
Support CD 17 € I Téléchargement 7,99 €

Référence : ODL961 – EAN & ISBN 9782376110712

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